Anne Lecourt

Comment êtes-vous devenue auteure ?

Je lis et j’écris depuis l’enfance. Un jour, j’ai éprouvé le besoin de partager, j’ai compris que les livres permettaient cela, que les livres en réalité étaient faits pour cela, la rencontre. Je suis sortie de ma coquille, de l’ombre où je me tenais en tant que traductrice.
Ce que j’aime au fond ce sont les gens et l’histoire de leur vie. La fiction, les romans, autorisent cette liberté-là, prodigieuse, d’habiller le récit sans limites. Écrire et lire, c’est entrer en résonance.

Quelle est votre actualité, vos projets en cours ?

La pièce des Discrètes, montée par la compagnie Quidam Théâtre poursuit son chemin en Bretagne. Dans le prolongement de cette aventure, l’éditrice Sepia & Bodoni m’a commandé des textes pour une exposition féminine. J’anime des ateliers d’écriture J’accompagne également l’association rennaise L’Escalier. Je travaille actuellement avec l’association Yadlavie (changer le regard sur le handicap, la maladie, le vieillissement https://yadlavie.org/) et un Ehpad de la région de Rennes à la confection d’un recueil sensible de paroles et de photographies intitulé Avant que j’oublie. J’ai le plaisir de compter pour la deuxième fois parmi les acteurs de la Bibliothèque Vivante des Champs Libres en mars 2022 – où comment les auteurs de projets divers ont l’occasion de rencontrer leur public en chair et en os.

Présentation de l’auteure

Née à Rennes en 1967. Membre de l’AEB et de la SGDL.Traductrice allemand, anglais, free-lance essentiellement au service de la recherche scientifique jusqu’en 2016. Collectrice pour la question des femmes auprès de la Communauté de communes de Montfort-sur-Meu (35) et publication de Elles qui disent (2016). Animatrice d’ateliers littéraires et poétiques. Distinguée au Festival du premier roman à Kiel en Allemagne et Festival des littératures contemporaines à Laval pour Sept jours en face (2021).